& . ALL ABOUT ME
DONNÉES CONFIDENTIELLES :
NOM : Nightray
PRENOM(S) : Eden
ÂGE : 23 ans
ORIENTATION : Bisexuel
ARME : Il se débrouille étonnamment bien en tout ce qui concerne acrobaties et techniques de jambes. Malgré tout, comme il n'aime guère le combat au corps à corps, son arme de prédilection reste les lames assez courtes ou fines, comme une très fine épée caché dans le corps en bois de son parapluie. Mais il trouve surtout son bonheur dans... Les mécanismes d'horlogerie ! Étrange non ? Rouages, aiguilles... Autant de petits objets qu'il peut aisément utiliser comme des armes. Il reste tout de même une personne qui ne se bat pas beaucoup...
GROUPE : Circus
RANG SOUHAITÉ : Conseiller de l'Enfant Divin.
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PHYSICAL APPEARANCE :
 WHAT ABOUT MY LOOK ? Mirror, mirror...
Look it false
So don't believe this !
- Généralités physique -
~ Full of things ~
Le physique et la morphologie d'Eden ? Et bien, ce n’est pas rien d’avouer qu’il se fiche de tout cela. Forcement, il est, comme tout le monde, sensible à la beauté et possède un sens esthétique développé. Mais il n’attache guère d’importance aux apparences. Il sait que l’habit ne fait pas le moine, et que ce n’est pas parce qu’une personne se retrouve infligé d’un physique ingrat qu’il en est de même à l’intérieur. En parlant de physique ingrat, il est clair et net que ce n’est certainement pas lui qui en est la victime ! Loin d’avoir un physique dit « banal » ou « passe-partout », c’est avec plaisir que certains s’amuse à le contempler et à le détailler, l’observant sous toutes les coutures. Et ce, sans que cela ne dérange nullement le concerné.
Mais que peut-on voir exactement ? Pour commencer, des cheveux d’un blanc étrange. Avec de légers reflets d’améthyste. Une couleur tellement spéciale que l’on serait à même de se demander qu’il n’est pas passé dans un pot de peinture à un moment de sa vie ! Peut-être que ses parents avaient des loisirs étranges ? Après tout, s’amuser à teindre les cheveux de ses enfants d’une couleur surréaliste, n’est-ce pas fichtrement amusant ?! Ah… Reprenons notre sérieux… Car il va en falloir mes amis. Surtout si je vous dis… Que la chevelure d'Eden possède une coupe bizarre. Enfin, vous voyez quoi… Non ? Et bien, vous ne vous demandez pas comment il fait pour se coiffer, chaque matin ? Mais voyons ! Rien de plus simple ! Vous voyez ces espèces de gros casques chauffant chez les coiffeurs ? Et ba lui, hop ! Tout les jours, au réveil, il se cale dans une machine du genre et voila ! Une jolie coupe, originale et pas chère, en quelques minutes seulement ! C’est pas beau ça ? Non, plus sérieusement… Cette coupe, c’est naturel. Donc inutile de lui demander comment bigre s’y prend-t-il, il ne saura vous répondre, et préférera vous envoyer balader gentiment (ou pas…). Et pour couronner cette blancheur de lune et cette chance de cocue pour pouvoir bannir la brosse à cheveux, on peut dire que la tignasse du jeune homme est douuuuuce ! Douce et soyeuse. Et jamais un seul nœud ! Si ce n’est pas de la chance ça ? Combien de femmes connaissant l’horreur du démêlage ne l’envieraient pas ? Et puis, ce léger parfum de Petit Marseillais à l’abricot qui se dégage quand il passe la main dans sa chevelure ! …Bon ok, ça, c’est un mensonge. Mais ses cheveux sentent bons quand même ! Même s’ils donnent plus l’impression d’avoir été décolorés à la javel ou au chlore…
Mais bon, même s’il est vrai que ce détail de son apparence est l’un de ceux qui attire le plus l’attention, ses yeux quand à eux sont loin d’être en reste ! La teinte rougeâtre dont ils bénéficient se calque parfaitement sur son teint pâle. Et justement, entre sa peau et ses cheveux, ce rouge sombre contraste parfaitement ! Le fait que ce soit la seule touche de couleur sur cette apparence monochrome renforce une impression de profondeur mystérieuse qui vous met mal à l’aise. Car c’est bien par ces deux iris qu'Eden fait passer tout le malaise et l’oppression dont il est capable. Des yeux aussi souriants que ses lèvres et qui semblent vous transpercer innocemment. Comme s’ils vous sondez au plus profond. Et pas la peine d’essayer d’y échapper, cela vous serez bien vain. En votre for intérieur, vous ne pourrez vous empêcher de trouver ce regard glacial et déstabilisant. Mais jamais vous n’oserez l’avouer devant un visage à l’air si candide...
Et candide est bien le mot quand on parle du visage d'Eden. Des trait doux, voir même quasiment féminin laissant croire à une certaine androgénie passé, lorsque sa croissance n’était pas encore terminée, se marient avec un air d’enfant innocent qui refuse de voir la réalité du monde adulte. En tout cas, c’est véritablement un beau visage que voila ! Charmant aussi bien les femmes de tout âge que leurs antagonistes masculins. On se demande même ce qui nous retient de ne pas se jeter sur lui pour le câliner à la manière d’un lapin en peluche ! Peut-être est-ce cette aura froide et sans appel qu’il se plait à entretenir autour de lui ? Peu importe, là n’est pas la question pour le moment… Et pour finir sur son visage, il possède un nez fin et légèrement arqué. Pratique quand l’on doit porter des lunettes ! …Même si lui n’en à pas besoin… Car il a une vue parfaite ! Presque dix à chaque œil ! Le chiffre exact ? N’insistez pas, il ne vous le donnera pas… Sinon, l’angle de son menton est doux et charmant, rien de plus à dire de ce coté-là. Ses lèvres quand à elles sont souvent étirés en un sourire à la fois innocent et doucereux, le genre qui vous fait vous dire que vous ne savez pas sur quel pied danser avec cet homme. Légèrement rosées, elles donneraient envie de l’embrasser sans discontinuer si ses yeux indefinisablement rieurs et sentencieux ne vous en dissuadez pas dans la seconde… Sans rire !
Plus généralement, c’est une personne à l’allure somme toute distinguée… Et en même temps un peu à l’ouest. Difficulté de compréhension ? Pas de panique… Disons qu’Eden à plusieurs styles vestimentaires. Autant un jour, bous le verrez vêtu d’un élégant costume bleu nuit ou améthyste sombre, aux lanières brunes et étroitement serré sur une des jambes, encolure et fins gants blancs, le tout surmonté d’un haut-de-forme sertit de petits clochettes teintant sur son passage, toujours avec sa petite montre à gousset en or dans la poche… Ca, c’est son accoutrement de parade, nécessaire pour les grandes occasions, les réunions importantes… Vous voyez, ce genre de choses quoi. Autant le lendemain, vous pourrez le voir arriver habillé de manière plus… Relâchée. Et enfantine surtout. Des bottes basses et claires, ouvertes sur le devant, un pantalon court et noir, une chemise améthyste masquant le tatouage de son torse, cette dernière étant surmonté d’un col noir et d’une veste large blanche, aux longue manches évasés, principal élément qui démontre cette petite gaminerie dont il peut faire preuve. Il se ballade constamment avec un parapluie de foire ou un bâton au bout aiguisé et finement décoré. Forcement, quand il le faut il n’hésite pas à se montrer plus… Passe-partout, mais il n’aime pas trop ça. Coté corpulence, ce n’est pas vraiment un gringalet, même si à coté de Chuck Norris, il aurait plus l’air d’une crevette que de son homologue ! C’est donc ainsi : Il possède une force assez honorable sans être trop développée. Mais peu lui importe, il compte plus sur son agilité et son intelligence pour se sortir de diverses situations épineuses.
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INTO MY HEAD :
 IN MY MIND ? Paradox.
Paradogme...
It's awesome !
- Géneralités -
« Eden ? Mais qui est-ce ? Je ne connais personne de ce nom-là. Vous avez du vous cogner la tête mon pauvre. Si un type comme ça était passé par là, je l'aurais vu ! Mais...? Pourquoi partez-vous ?! Attendez, ce n'était qu'une simple blague ! Ne peut-on plus faire d'humour de nos jours ? C'en est désespérant ! » Alala ! Oui, ce n'était qu'une blague ! Car comment ne pas connaitre ce cher garçon ? L'indéfinissable Eden Nightray ! Alias l'homme qui possède un nom à rallonge malgré lui... Ou pas. Impossible ! Il faudrait vivre en autarcie totale, être comme un vieil ermite avalant ses petits champignons depuis des années dans le fin fond de sa petite grotte ! Et plus personne ne vit ainsi de nos jours, pas vrai ? Le contraire en serait véritablement inquiétant non ? Donc nous sommes d'accord. Il est quasiment impossible de ne savoir qu'il il est. Vous en avez déjà entendu parler au moins une fois dans votre vie. Enfin... Oui, c'est bien beau tout ça...Mais au final, qu'en savez-vous vraiment ? Connaissez-vous ses penchants ? Ses envies ? Non, bien sûr que non. De toute façon, il serait présomptueux d'affirmer une telle chose. Après tout, dire « Je sais tout de toi, je te connais mieux que personne », c'est simplement une utopie... Et ce serait quand même sacrement flippant aussi... Vous vous rendez compte un peu ?! Si quelqu'un vous connaissez mieux que vous-même ? Brrr, des frissons me parcourent le dos rien que de penser à une telle idée...Mais bref, nous nous écartons du sujet ainsi. Rapportons donc notre attention sur l'homme qui nous intéresse ici si vous le voulez bien... Comment ? Vous ne le voulez pas ? Et bien tant pis pour vous, c'est du pareil au même. Vous n'y couperais pas. Alors, restez jusqu'au bout ou monsieur Nightray va se fâcher... Et pourtant, ce n'est pas donné à tout le monde de le voir fâché justement. Et même pour ces quelques-là, c'est carrément rare ! Vous auriez plus de chances de voir un singe aphone et neurasthénique danser la polka sur l'air de la traviata. Autant dire que que vous pouvez toujours attendre. Et pourtant, ce n'est pas que ce cher monsieur soit toujours de bonne humeur. Non, bien sûr que non. Comment serait-ce possible ? Mais laisser libre cours aux crises d'hystéries, aux cris... Ce n'est pas son genre. C'est tellement inélégant ! Non, lui il a une nette préférence pour cette colère sourde et froide. Celle où le visage sourit, mais qui enclenche une atmosphère lourde et désagréable... Quelque chose de si pesant que l'on a plus qu'une seule envie : s'excuser et tout faire pour réparer son erreur, afin de faire fuir de sentiment d'oppression et de culpabilité qui vous ronge. Et retrouver le gentil air légèrement malicieux et enfantin du jeune homme vous apaise soudain. Comme si vous veniez d'échapper au pire. Cette impression de calme après la tempête est précisément le leitmotiv d'Eden. Il se plait à garder ce masque souriant. Un grand sourire respirant à la fois une innocence assez enfantine et un danger latent qu’il est difficile d’ignorer. Car c’est un homme complexe et surtout paradoxal au possible. Vous pensiez qu’il s’agissait d’un être simplet ? Détrompez-vous. S’il dégage une certaine impression de candeur, c’est orchestré pour mieux s’insinuer dans le cœur des gens, pour faire tomber les barrières de méfiance et inspirer une confiance qui doit s’avérer la plus forte possible. Ainsi, il lui sera bien plus facile par la suite d’atteindre ses éventuels objectifs. C’est retords comme tactique. Voir même malsain. Mais c’est là l’essentiel de sa personnalité. Affable et ingénue à l’extérieur, complètement détraqué en profondeur. Telle une jolie pomme appétissante qui se révélerait en réalité pourrie à l’intérieur. Une jolie montre à gousset dont le remontoir serait cassée. Oui, c’est plutôt cela… Eden est comme une montre : Il a l’air de tourner rond, tout comme les aiguilles indiquant le temps, mais les rouages sont grippés. Ils finissent par s’arrêter, ou par tourner à l’envers, la mélodie qui s’échappe lentement s’arrêtant par à-coup. « Qui suis-je exactement ? Voila une question bien étrange que vous me posez là. Je dois vous répondre franchement ? Dans ce cas… Je suis le fou qui marche sur les rouages du destin. Il plie devant mes acrobaties. Je suis celui qui ferme les yeux en avançant, et un jour, je tuerais le sage qui a l’intelligence de se courber devant moi. Vous n’avez pas compris ? Ce n’est pas grave, je m’y attendais. Mais si vous êtes trop ignares pour comprendre le sens de mes paroles, nous ne pourrons être amis. Je n’y peux rien mais je déteste les gens stupides ou naïfs. C’est comme ça, ne m’en veuillez pas. ~ »
Il se définie lui-même comme « fou », dans le bon sens du terme. Considérant la vie comme plate et ennuyeuse, il se plait à rechercher la nouveauté et ce, jusque dans le danger, mais sans jamais se départir de son sang-froid et sa logique. Car oui, il a beau exécrer le sage et son implacable savoir, il reste lui-même une personne qui n’aime pas lorsqu’il ne possède pas d’explications logique à un état ou une cause. Ce n’est pas qu’il veuille à tout prix tout expliquer. Juste qu’il refuse laisser une interrogation sans réponse. Après, peu lui importe que celle-ci soit vrai ou non.
- Qualités et défauts -
~ Good point ?
Hum, difficile de lui trouver des bons cotés véritables. Non pas qu'il soit bourré de défauts. Mais disons plutôt que chacune de ses qualités peuvent souvent être considérés comme exagérés, perdant donc leurs cotés positifs. De plus, il se contredit tellement lorsqu'il agit qu'il est ardue d'expliquer posément les avantages qu'il dissimule. Il est à la fois minutieux et "je-m'en-foutiste". A la fois fier à l'extrême et totalement désintéressé par toutes ces histoires d'honneurs, sachant plier l'échine quand faire se doit. Il semble être une personne attentionné et à l'écoute des désirs de chacun. Ça encore n'est qu'une autre de ses faces trompeuses. En réalité, il est très emphatique mais répugne à s'intéresser aux autres. La jovialité dont il fait preuve à tout instant peut masquer un fort dédain pour son entourage autant qu'un ennuie mortel ou encore une certaines nostalgie qu'il ne supporte pas. En ce sens... Peut-on le dire lunatique ? Oui sans doute. Seulement, cela ne se voit pas, voila tout.
Le fait qu'il soit souriant quelque soit le contexte renforce une impression de psychopathie, voir même de schizophrénie, lorsqu'il se laisse aller à ses basses pulsions. Visage chaleureux pour paroles froides et cruelles. C'est un facteur déclencheur de cette sorte de magnétisme qu'il dégage. Quoi de plus fascinant que le spectacle d’un être avide de cette sensation de puissance qui se libère au moment d’ôter la vie à une pauvre victime ? Victime ayant fait pour seule erreur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment…
Si l’on devait attribuer un péché à Eden, ce serait sans conteste… La gourmandise ! Vous l’aurez sans doute remarqué par vous-même (Dans le cas contraire, je m’excuse mais je ne peux rien faire pour vous…) En effet, le jeune homme (enfin… « Jeune »… Tout est relatif dirons-nous.) semble souffrir de ce qu’il appelle lui-même la « Pathologie du sucre ». Il est rare de ne pas le voir dégustant une sucrerie quelconque. On en viendrait presque à croire qu’il ne se nourrit que de cela ! Où est la vérité dans cette affirmation… Peu de personne peuvent le dire. Par contre, il est amusant de se dire qu’un être aussi accro au glucose puisse être si svelte. Les paris sont ouverts ! Qui dit que Eden est un futur obèse en puissance ?! Mise de départ : 500 yubas ! Hum, oui, enfin… Passons… Ce n’est pas le moment. Mais ce n’est que partie remise mes amis. Donc quittez cet air morose et gardez votre argent au chaud, il pourrait bien trouver utilité plus tôt que vous ne le pensez.
Cette addiction au sucré mise à part, il suffit de le côtoyer quelques temps pour s’apercevoir qu’il possède un orgueil bien caché, mais terriblement développé. Dans le même ordre d’idée, il est, mais alors, extrêmement mauvais joueur ! Ce n’est pas qu’il n’admet pas la défaite bien sur (quoique cela dépends surtout de la situation et du contexte) mais s’entendre dire qu’il n’aurait pas du agir de telle ou telle manière ? Se faire critiquer car il s’est trompé en affirmant ceci ou cela ? Jamais ! Plutôt mourir ! Donc c’est une chose à proscrire une fois en face de lui, sous peine de finir six pieds sous terre… Il serait dommage de manger les pissenlits par la racine alors que vous n’avez aucunes tendances suicidaires non ? Après, cela ne veut pas dire que vous devez vous faire un devoir de le flatter ou d’être sans arrêt d’accord avec lui. Car les menteurs et les gens faux font partis de la liste conséquente de ce qu’il déteste ici-bas. De même qu’il méprise les lâches et les avares. Est-ce là la preuve d’une grandeur d’âme ? Que nenni. C’est surtout par principe (Oui, car il en possède malgré tout. Quoi, vous en doutiez ?). Voila juste la démonstration de son désintérêt envers la race humaine.
- Et le reste ? -
~ Other things ?
Que pourrait-on dire d'autre... ? Déjà que ce n'est pas un homme qui fait dans la demi-mesure. Quand il commence quelque chose, inutile d'essayer de le faire changer d'avis : il s'y tiendras jusqu'au bout ! Horriblement têtu et tête de mule ? Pas sur. Esprit de contradiction plutôt. « Tu veux aller à gauche ? Et bien dans ce cas, moi, j'irais à droite. Pourquoi ? N'est-ce pas plus drôle comme ça ? ». Il a toujours tendance à voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Et pourtant, tout n'est pas affaire d'amusement avec lui. Oui, oui, ne pensez pas qu'il ne sait pas être un minimum sérieux. Quand la situation l'exige, il sait mettre de coté cette certaine gaminerie qu'il se traine. Par contre, il ne sait pas se départir de cette aura inquiétante qui l'accompagne. « Je suis juste un paradoxe. » Juste ça ? Rien d'autre ?Il est vrai que c'est déjà assez étrange de se qualifier d'une telle façon. Mais comme tout son être me direz-vous... Sinon, de façon plus générale... Que pourrait-on dire d'autre ? Et bien, qu'il n'a pas tellement de vices à proprement parler, mais qu'il n'est pas non plus franchement vertueux... Le sens de la justice par exemple ! Il l'a, c'est un fait ! Ou du moins, il possède les notions de justice et d'injustice. Mais cela ne veut pas dire pour autant qu'il viendra vous aider si vous vous faites agresser dans la rue. Tout dépendra de son humeur du moment. Bon sang, il est vrai qu'une personne aussi lunatique et volage peut être sacrement difficile à comprendre et surtout, à apprécier ! Mais qu'importe, il ne cherchera jamais à vous plaire à tout prix de toutes façon. Les apparences trompeuses, ce n'est pas son truc... Chez les autres du moins. Car lui, il use et abuse de faux-semblants. Cette manière de se comporter à tendance à donner des espoirs inutiles aux autres, alors que lui-même n'attends jamais rien d'eux. Il se considère comme étant seul dans son monde. Comme dans une sorte de bulle imperméable où personne ne peut pénétrer. Celui qui réussirait à percer cette bulle et s'y infiltrer serait un être spécial au cœur peu chaleureux d'Eden. Et ce dernier n'accorde pas facilement sa confiance, voir même jamais et à personne si c'est possible. Mais lorsqu'il offre cela, c'est à vie. C'est la preuve pour lui d'une certaine fidélité, voir même d'une sorte de forme de soumission. Mais attention ! Eden est horriblement rancunier ! N'abusez pas ni de sa confiance, ni de sa gentillesse si vous avez la (mal?)chance d'en bénéficier. Sinon, il n'aura de cesse de vouloir vous le faire payer ! Et pour ce genre de cas...Le proverbe « La vengeance est un plat qui se mange froid » est son préféré. Ennemi terrible ? C'est sur. Excellent allié ? Aussi. Bon ami ? Hum, voici qui est déjà plus ardu... Être complexe, à voir comme un miroir moqueur et dangereux. Mieux vaut éviter de le briser si l'on ne veut pas se couper.
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SEE ME OTHERWISE :
 LISTEN MY STORY Once upon a time,
A little rabbit was born.
Wake up and listen.
- [color=Teal]Première heure -
~ Innocent child ? ~
Imaginez donc la scène. Un froid soir d’hiver, la petite chambre est plongée dans l’obscurité. Il neige. La seule source de lumière est la lune et ses rayons argentés qui se déversent doucement. Seule une ombre se découpe, immobile, devant la haute fenêtre. Assis sur un fauteuil, un coude posé sur le rebord, il observe le ciel sombre, vide d’étoiles. Son habituel sourire de miel n’est plus là. Pourquoi faire ? Quand il est seul, inutile de se mentir à lui-même. Il reste comme un long, long moment, sans rien dire, sans rien faire. Il a ramené une de ses jambes sur le fauteuil et l’entoure de son bras pendant que on unique œil furète un peu partout. Unique œil ? Pourquoi ? Son autre orbite n’est pas creuse pourtant ? Non, c’est vrai. Mais il n’y voit strictement plus rien de l’œil droit. Ca fait un sacré moment déjà qu’il est inutilisable… Il se souvient encore de la douleur qu’il a ressentie quand il l’a perdu. Il baisse le regard machinalement. Jamais il ne pourrait oublier, bien qu’il le voudrait.
Il se souviendra toute sa vie de ce jour. Oh, somme toute il n’avait jamais eu une vie bien passionnante jusqu’à cet… Incident. Fils de chocolatier qu’il était. Oui oui, ça peut en faire rêver beaucoup comme situation. Mais au final, la petite confiserie/Chocolaterie était une boutique assez banale. Il est vraie qu’il avait toujours était très agréable d’y vivre, surtout que la maison où vivait sa famille, juste derrière la boutique était grande et agréable…On aurait dit une de ces belles maison de Sicile en Italie… Et… Avec lui il s’y était tellement amusé. Chiper des bonbons à peine finis, se cacher derrière les énormes sacs de sucres, en riant… Il était l’ainé, l’autre n’était né que 4 minutes après lui avait-on dit. Lui, c’était Eliot, son jumeau. Les deux jeunes garçons étaient semblables en tout point, jusque dans leurs façons de penser. Le seul moyen de les différencier était qu’Eliot avait els cheveux long jusqu’à la taille tendis qu’Eden ne pouvait supporter que les cheveux courts. Bref, c’est ainsi : Rien que de l’habituel… Jusqu’à ce qu’Eden se rende compte que lui et son frère n’étaient pas le moins du monde « normaux ». Malgré leurs tenus irréprochable en société, ils avaient vite sentit qu’ils n’étaient pas fait pour vivre parmi de reste de la populace. Souvent, l’un après l’autre, ils démontraient de fort et inquiétant signes de troubles psychotiques. Cela se traduisait souvent par des pulsions qu’ils se forçaient à cacher, se jurant de ne jamais céder. Ce fut sans compter qu’Elliot était fortement attiré par ce coté défaillant de sa propre personne, il était avide d’y céder. Tout le contraire de son grand frère qui avait toujours été plus indifférent. Malgré tout, les années passèrent, toujours aussi peu intéressantes… Eliot souhaitait reprendre la boutique de son père, plus comme pour réaliser un rêve de gosse que véritablement par intérêt des affaires. Eden lui, se trouva un intérêt tout nouveau pour les mécanismes anciens, notamment ceux des vieilles horlogeries et des boites à musiques. Ce fut décidé très rapidement : Pour lui, ce serait à présent sa vocation. Il trouva rapidement un emploie dans une horlogerie, peu fréquentée. Forcement, après tout, ce genre de choses n’intéressait plus les gens…
Bref, petite période de paix qui fut vite brisée. Un soir, sur le chemin du retour, Eden ressentit subitement une sale impression. Vous savez, ce genre de mauvais pressentiment qui vous agrippe le cœur ? Et bien il parait que lorsqu’un sentiment fort habite un jumeau, son antagoniste le perçoit très nettement, d’une façon o d’une autre. De même que l’on dit possible que les jumeaus puisse être au courant des grands changements dans la vie de l’autre, savoir le fond de ses pensées, ect… Et bien là, c’était précisément ceci. Et cela n’inspirait rien de joyeux. Il fit le reste du trajet en courant. A son arrivée, alors que la nuit était tombée depuis longtemps, il trouva la chocolaterie allumée. En entrant, il pu constater que son cadet avait finalement succombé avec bonheur à sa mauvais instincts. Le sang se mêlé au chocolat en train de fondre. Ce fut la dernière chose qu’il vit de ses parents. Eliot le regardait, le sourire aux lèvres, tout fier de lui comme s’il venait de recevoir une bonne note comme quand ils étaient gamins. La suite ? Hum, inutile de décrire l’état psychique d’Eliot. Celui-ci, persuadé que son grand frère adoré l’approuverait totalement dans sn actes, tomba dans une colère noire en voyant ce dernier si choqué. Il leva le l’arme qu’il avait à la main et tenta d’assassiner son jumeau, hourdie par de sombres dessins dont il n’avait pas vraiment conscience. Eden réussit à y réchapper de justesse mais la lame utilisé par son frère se brisa et un morceau lui creva l’œil droit. L’adrénaline mêlé à la surprise, il ne cria même pas malgré la douleur. Craignant pour sa vie, ce fut lui qui, ramassant l’arme à terre, la planta dans le corps de son jeune frère tandis que celui-ci s’avançait vers lui. Ce dernier s’effondra et Eden ne trouva rien d’autre à faire que de se barricader dans la maison, ne sachant même pas s’il avait véritablement tué son frère ou non…
- Deuxième heure -
~ Foolish World ~
Il soupire. Un long soupir qui résonne dans le silence de la pièce vide. C’est quelque chose qu’il ne fait jamais quand il est en présence de quelqu’un. D’habitude, il garde constamment son sourire un peu étrange. On lui dit souvent qu’il est bizarre, difficile à comprendre et à cerner… Mais lui n’en a cure. Il se fiche de ce que l’on peut penser de lui. Quel qu’est été ses actes et ses choix… Il se redresse légèrement, vraiment à peine. Juste de quoi pouvoir tendre un bras vers la poignée de la fenêtre pour l’ouvrir. Immédiatement, le froid mordant entre dans la chambre, comme un invité indésirable. Les légers flocons de neige ne se gênent pas non plus. Il remonte la deuxième jambe, croise les bras sur ses genoux et y pose sa tête. Son unique œil regarde la neige voleter doucement, sans bruit. Elle se pose sur ses vêtements, ses cheveux, la partie encore visible de son visage, avant de fondre presque instantanément. C’est une vision un peu triste. Aussi triste que pouvait l’être son état d’esprit après tout cela.
Il était juste restait quelques semaines dans une partie éloignée de sa famille, qui l’avait assez bien accueilli. Il s’entendait bien avec la petite fille de sa nouvelle maisonnée et on lui avait proposé un œil artificiel, au moins pour éviter d’effrayer les gens. On l’avait obligé à garder le lit plusieurs jours, et personne ne voulait bien lui dire si Eliot était finalement bel et bien mort ou non. Devant les incertitudes, les doutes, et les événements récents, Eden ne savait vraiment pas quoi faire. Il n’arrivait plus à rire. Recommencer à s’ouvrir aux autres était un défi. Défi qu’il aujourd’hui toujours pas réussi à remporter. Il s’est juste rendu compte que sourire permettait d’éviter que l’on ne s’inquiète pour lui ou qu’on ne lui pose des questions ennuyeuses. Alors, il apprit à… Faire semblant de sourire. Ce qui marche d’ailleurs très bien ! Mais malgré tout, Eden n’arrivait pas à se débarrasser de ses hantises. Parmi celles-ci, il avait peur de devenir complètement fou et de tourner comme son frère. Pourquoi ? Depuis l’incident, il faisait des rêves étranges, et il entendait des voix, même en pleine journée. C’était une voix indéfinissable, au début douce et à peine perceptible, puis qui se faisait de plus en plus forte au fil du temps. Et un jour, alors qu’il avait vraiment l’impression de perdre la raison, on vint le chercher. « On » ? Mais qui donc ? Bonne question… Lui-même ne saurait le dire. Un petit garçon ? Plus que ça ? Sans le moindre doute. Ce quelqu’un, il l’écouta. Il l’écouta sans l’interrompre une seule fois, il savait qu’il ne le pourrait pas de toute façon. Son visage n’exprimait rien, pas même de la surprise ou ne serait-ce qu’un léger étonnement. C’est comme si le jeune homme s’était attendu à tout cela depuis bien longtemps. Il restait le regard grave et droit. A un moment, il lui semblât ressentir un picotement dans son œil gauche mais il n’aurait su dire si ce n’était là que le fruit de son imagination ou non. Finalement, quand l’histoire est finie, on lui adresse une unique question : « Qui es-tu ? »
Il avait suivi le discours d’un air désintéressé. Lui, il souhaitait seulement faire en sorte de s’amuser, ne jamais s’ennuyer. Comme ça, il pourrait oublier. Oublier tout. Il se consacrerait à bien d’autre chose et n’aurait plus le temps de penser à lui-même ou à son passé. C’était comme ceci qu’il voyait les choses. Alors, allez savoir pourquoi, il ne peut pas s’empêcher d’adresser un de ses sourires au conteur.
« - Je veux devenir celui qui brisera. »
Une seule phrase, prononcé surtout à cause de son amertume du à l’acte insensé de son frère, et pourtant assez claire. Avant même de s’en rendre compte, il se retrouva dans un groupe appelé Narcisses. Il ne regretta pas. Non, car Eden Nightray ne regrettait jamais ses choix. Mais a peine avait-il apprit leurs but et aperçu leurs chef qu’il comprit immédiatement qu’il s’était trompé. Se battre contre ces Décadents hein ? N’importe quoi. Pourquoi faire ? Ce n’était pas amusant du tout. Qu’est-ce que cela allait bien pouvoir leurs apporter à tous ? Ah, il s’y ennuyait déjà dans ce groupuscule d’êtres dirigés par une personne envers laquelle il ne ressentait aucunes sympathie, ni même respect. En gros… Ça avait capoté quelque part. L’intendance ne devait pas être très au point car on avait du mal interpréter ses paroles. A quel moment avait-il décrété qu’il souhaitait faire parti d’une bande de tarés belliqueux et vengeurs ? Ou alors, peut-être était-ce lui qui s’était mal exprimé ? Oui, c’était probable.
Bon, et bien à présent, il lui fallait attendre. Il observerait ces types-là quelques temps en attendant une occasion de les quitter. Car franchement, prendre parti dans un conflit, ce n’était vraiment pas son truc. Lui, il préférait de loin observer le déroulement des choses. C’était autrement plus distrayant et ça lui correspondait bien mieux.
- Troisiéme heure -
~ End & Then ~
Il serrait son arme dans sa main. Une épée plutôt étrange, à la lame extrêmement fine, mais bourrée de mécanismes en tout genre. Le bruit de rouages cliquetant se faisait entendre à l’intérieur, c’était quelque chose d’assez inhabituel. Sur la cadre, un cadran de montre à gousset joliment travaillé. Toute l’arme était ciselée finement, décoré de motif d’aiguilles anciennes. Il l’aimait bien cette épée. C’était un des rares caprices qu’il s’était donné auquel il tenait vraiment. Bien qu’il la dégainait rarement, du fait de son peu d’amour envers les batailles… Par contre, il aimait beaucoup la contempler longuement, observant les reflets auquel la lumière donnait naissance. Le jour où cette si jolie lame se brisa fut aussi celui où il quitta les Narcisses, non sans un certain soulagement.
C’était au cours d’un affrontement. Lui qui d’habitude, arrivait à esquiver, on l’avait forcé à y participé cette fois-ci. Il n’avait guère eu le choix. Il trouva un adversaire en une jeune fille faisant partie des Décadents. Le regard vide, elle s’était élancé sur lui sans même qu’il n’a pu lui adresser la parole. Lui se battait. Normal, il devait bien défendre sa vie. Mais justement. S’il répliquait, ce n’était pas pour faire la fierté de ce Raven ou il-ne-savait-plus-qui, mais juste pour rester en vie. Finalement, entre deux mouvements, il lui demanda pourquoi elle se battait. La raison véritable, il s’en fichait à vrai dire. Et il ne posait pas la question par acquis de conscience ou pour être aimable, non. C’était juste sa conscience qui lui avait dicté. Et elle… Apparemment, elle ne savait pas. Elle n’avait l’air de n’avoir aucun motif valable. Elle a juste haussait les épaules en disant « C’est comme ça » avant de relancer l’assaut. Devant cet état de fait, Eden soupira. L’affrontement avait ainsi perdu de sa superbe, et il avait à présent la confirmation que cette guerre était à la fois terriblement stupide et inutile. Alors il baissa son arme, refusant de continuer plus longtemps la mascarade.
Ce ne fut pas la jeune fille à l’étrange flamme dans l’œil qui le blessa par la suite, ni même qui fit voler l’épée d’horloger en éclats au sol. Car elle aussi s’était arrêtée, devant le geste de son adversaire. Non, c’était un Narcisse. Un Narcisse qui avait remarquait le manège d’Eden et qui, préférant sa fichu envie de massacrer les Décadents à la compréhension, s’était dit que le jeune homme n’était qu’un traitre bon à éliminer…
Par la suite. Rien de spécial…
Du coup, il était clair qu’il ne pouvait plus faire partit de ce groupe. Tant mieux pour lui. Il trouva refuge chez ceux que l’on nommait les Circus. On l’accueillit sans lui poser la moindre question sur ses blessures ou son passé. Son arme était quasiment en miette, mais il ne pouvait se résoudre à s’en débarrasser. Il fit monter la le long morceau de lame restante à l’intérieure du corps d’un petit parapluie de foire. Le reste, les rouages, les mécaniques, il en avait fait une petite montre à gousset jouant une douce mélodie quand on l’ouvrait. Et il ne la quittait jamais. Il s’était fait repérer par celui qui dirigeait les Circus, quelqu’un qui se faisait appeler l’Enfant Divin. Il est devenu son conseiller, lui-même ne savait pas sur quels critères il l’avait choisit, ni même pourquoi il lui avait accordé ce rôle à lui et pas à un autre.
Mais ce n’est que futilité de se poser plus de question. Pour le moment, il n’as pas à se plaindre. Il a tout ce qu’il désire. C’est-à-dire la possibilité d’observer de loin cette douce mascarade auxquelles se livre le monde, tout ça en ayant quand même le pouvoir d’y participer quand il le voulait ou quand on lui ordonnait. Et pour le moment, il n’avait pas besoin de se soucier de son passé. Il finit par se redresser lentement, posant les pieds au sol. Il a froid. Normal, il est resté un peu trop longtemps sans bouger devant cette fenêtre. Il la ferme et se lève, un peu endormie. Sans un bruit, il s’assoit sur le bord du lit, fixant le sol un instant, pensif. Avant de finalement sauter en arrière sur le matelas et, les bras en croix, il ferme les yeux et s’endort lentement, très lentement, sans même se déshabiller ou se glisser sous les draps. Il sait qu’il ne fera pas de rêves étranges. A présent, son seul souci est de se demander de quoi « demain » sera fait…
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BEHIND THE MASK :
 HORS RP Car il faut bien passer par là...
Je m'y colle.
PRÉNOM // PSEUDO : Mystére... (Logiquement, un au moins devrait me reconnaitre...)
ÂGE : Ah ? Error 404~
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : ...Joshua ?
CODE : Huuum... Mais oui mon cher. ~
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[Les codes de ma fiche déconnent... T-T ~ Je verrais ça plus tard.]
[Edit : Mes excuses pour les fautes d'orthographe. Je corrige petit à petit en me relisant]
Dernière édition par Eden Nightray le Mer 4 Nov - 17:37, édité 4 fois |
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