& . ALL ABOUT ME

DONNÉES CONFIDENTIELLES :

NOM : Schreiner
PRENOM(S) : Matthias
ÂGE : 21 ans
ORIENTATION : Homosexuel
ARME : Un pistolet
GROUPE : Narcisses
RANG SOUHAITÉ : Fidel de Maître Raven. Tueur ?

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PHYSICAL APPEARANCE :

Comment pourrais-je me décrire ? Si je me décrivais comme beau, est-ce que vous me croiriez ? Et si je me disais désirable, est-ce que vous viendriez en témoigner de vous même ? Je ne crois pas. Un simple mot ne peut pas décrire une personne entière. Pas moi, en tout cas.

Un enfant. Je me décrirais tout premièrement ainsi. Mon corps est frêle, ce que j'entretiens. Et il y a longtemps que j'ai cessé de grandir. Sans jamais dépasser mes 167 centimètres. Ma taille n'a jamais pour autant été un complexe. J'aime être petit. J'aime passer pour plus jeune que je le suis. Car bien entendu, même si j'ai 21 ans, je passe bien souvent pour un adolescent. Aussi par mon regard. Je n'ai jamais dépassé le stade du gamin hautain. Ce regard qui voit tout le monde comme inférieur. Qui ne se détourne jamais. Qui n’a peur de rien ni personne. Ce regard qui sait tout, qui voit tout… Bien sur, si j’étais vraiment un enfant, je serais un gamin très aguicheur, mais innocent. Ce n’est pas le cas. Mes mouvements, tout de moi inspirent l’envie. Même si j’ai toujours l’air ailleurs, chaque fois que je bouge simplement le bout de mes doigts, ou tout mon corps, c’est calculé. C’est automatique, malgré tout. Je ne peux m’empêcher de faire sans cesse des mouvements las et inutiles.
Bien, disons que tout cela est simplement une analyse de comment je suis, allons-y plus simplement en décrivant mon apparence physique pure ; Des cheveux noirs, sans reflets, tout simplement noirs, doux et bien entretenus, à une longueur moyenne. Juste au dessus des épaules. Et une longue frange qui ne m’a jamais dérangé sur l’œil droit. Des yeux sombres, en fait noirs, comme mes cheveux, détonnant de ma peau blême. Une autre chose que j’entretiens volontairement ; Je n’ai jamais apprécié le soleil. De longs cils presque dignes d’une femme, et un visage, je dirais... Sans imperfection. Je ne rougis pas facilement. Je ne souris pas facilement non plus. Bien que mes traits ne soient pas tirés vers le bas, j’adopte habituellement une expression neutre.
Jamais trop d’excentricités. Ma garde-robe est très alternative. On peut y retrouver autant un beau costume, pour les grandes occasions, que des vêtements décontractés, simples, de tous les jours. Un piercing à l’oreille gauche et deux à la droite.

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INTO MY HEAD :

Est-ce que la folie est un trait de personnalité ? J’espère que oui, sinon cette partie, pour moi, sera très vide.

J’ai toujours été ingrat. J’ai toujours été, voir, vulgaire. Je n’aime pas les gens qui sont toujours à surveiller leur allure, à toujours tout faire pour bien paraitre. Je n’aime pas les gens chez qui le faux parait. Moi, je fais ce que je veux. Et si ce que je veux ne plait pas à monsieur ou madame, tan pis pour eux. Cela vaut pour tout le monde. Mes supérieurs, comme n’importe qui. Et bien sur, Maître Raven fait parti de mes supérieurs. Mes supérieurs auxquels je dois respect. Mais reste que jamais je ne serai quelqu’un d’autre. Même pour lui. Même pour lui que je respecte tant.
Je suis une personne très terre à terre. Je ne crois pas en ce que je n’ai jamais vu de mes propres yeux. Ce qui me semble improbable est inconcevable, dans mon esprit. Même que je vous dirais que… Lorsque j’ai rencontré l’enfant divin, je n’y croyais pas encore. Maintenant oui. Maintenant j’y crois. Je crois à ce qu’il m’a dit. Aux dieux et tout ce à quoi je ne croyais pas avant. Je ne crois pas, par contre, au monde parfait. Je sais que je me bats pour ce monde, mais je n’y crois pas. Pour moi, je me bats pour l’équilibre. Je me bats pour Maître Raven.
Pour ce qui est de tuer. Ce n’est pas un problème. Même que j’avouerai que ça m’amuse ! J’aime infliger aux autres des choses atroces. Ce qui est amusant pour moi ne l’est pas pour tout le monde… Mais bon. Peut-être qu’au fond, j’aime être différent. Peut-être qu’au fond, qui je suis est qui je veux être. J’aime qu’on me remarque. Pas par mon apparence, ou par mon rang social. Non, par ma personnalité.
Pour moi, tous les gens sont égaux. Tous bon à être tués. J’aurais très bien pu être une simple machine. Là pour tuer. Mais j’ai choisi de servir pour quelqu’un avec un but. Je le sais, je le sais bien, malgré ma forte personnalité, je dois servir quelqu’un. Si je ne servais personne, je n’aurais plus de but. Sans but, personne n’avance. C’est pour ça que je sers avec tant de fidélité celui qui m’a donné une raison de tuer. Celui qui a su diriger ma rage contre quelqu’un, contre quelque chose.
Est-ce que mon arrogance sans borne me pose un quelconque problème ? Ça n’a jamais été le cas. Normalement, les gens apprécient une personne franche, une personne sans limite. Les gens, normalement, sourient simplement en m’entendant parler. Par contre, je ne dirais pas que je suis sans peur. J’ai peur, oui, même de plusieurs choses. J’ai peur de perdre mes moyens. J’ai peur de perdre mon contrôle… Et ce qui me le fait perdre, jusqu’à maintenant, c’est la douleur. Cette douce et si agréable douleur. J’aime comme elle me fait délirer…

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SEE ME OTHERWISE :

Où devrais-je commencer mo histoire ? À ma naissance ou là où tout a commencé ? Toute histoire doit contenir une situation initiale ;

Je me souviens qu’enfant, j’avais une maman et un papa. Comme tous les autres enfants, je les aimais plus que tout. Même s’ils étaient vraiment paumés. Maintenant que j’y repense, j’aurais du m’en débarrasser, mais enfant, j’étais très passif. Un ange, disaient les gens. Toutes les amies de maman adoraient me cajoler, et me donner des sucreries. Bien entendu, tout n’était pas aussi merveilleux que le dit ce court début. Mon père buvait. Grave problème. Il ne m’a jamais aimé. Et je crois qu’il n’a jamais aimé ma mère non plus. Cette pauvre femme qu’il battait. Je me souviens de certains soirs, je n’osais même pas descendre de ma chambre juste à entendre les bruits. Les coups et les gémissements de ma mère qui suppliait, non pas qu’il cesse, mais qu’il fasse moins de bruit pour que je n’entende rien.
À l’adolescence, tout s’est clarifié. Il ne s’est jamais attaqué à moi. Jamais. Il ne s’en prenait qu’à ma mère. Et quand sa rage était occasionnée par ma personne, il battait ma mère sous prétexte qu’elle avait donné naissance à un monstre. Mais jamais un coup ne m’atteint. M’enfin, physiquement. Malgré tout, de savoir que 50% des coups que recevait ma mère étaient par ma faute ne m’a jamais aidé. À l’école, je n’étais pas très doué et en fait, j’étais plutôt mauvais élève. Je me battais souvent avec les autres. Je recherchais la supériorité. Mais dès que je rentrais à la maison, je n’étais plus rien. Et pourtant… Pourtant… Pourquoi ne m’a-t-il jamais frappé ? Je ne l’ai jamais su.
C’est alors que j’ai commencé à changer. Je rencontrais des gens, des gens qui savaient me calmer. Des gens qui m’écrasèrent. Et alors qu’ils me faisaient mal, toute cette envie de faire mal s’apaisait. Peut-être que mon père aurait du être encore plus salaud. Comme ça, jamais je n’aurais tant apprécié la douleur…

Bien sur, une histoire n’est pas sans élément déclencheur ;

Mais bien sur, ça ne dura pas. Mon père remarqua bien, lui qui était fier de son fils violent, que je changeais. Que je devenais meilleur. Que je ne me battais plus avec les autres. Que je devenais un bon garçon. Et ça ne lui plut pas. J’aurais du le prévoir, tout alla sur le compte de ma mère. Elle reçu toutes les insultes du monde pour avoir donné naissance à un homosexuel. Comme, même aujourd’hui, les gens peuvent être arriérés.
Et ma mère. La pauvre. Elle devint folle. Vraiment folle. Elle commençait à rêver éveillée d’un monde merveilleux. Elle l’appelait « L’autre monde » je sais, très original. Elle voulait le rejoindre, aller dans ce monde… Ce qu’elle fit. Un soir d’hiver, alors que je rentrais de chez l’un de mes innombrables amants d’un soir, elle n’était plus. Elle était passée dans l’autre monde. Dans sa main, tachée de sang, se trouvait mon pistolet. Celui que mon père m’avait offert à mes 11 ans, dans l’espoir de faire de moi un homme. Quel monstre.
Sans réfléchir, je pris le pistolet, en laissant derrière moi la femme qui m’avait toujours protégé. Qui avait toujours encaissé pour moi. Je ne pouvais pas rester. Car moi, je ne prendrai pas sa place comme punching bag. Jamais, en tout cas, jamais pour lui.

Et la première péripétie, une bonne histoire doit en compter plusieurs, même si dans la mienne, elles ne sont pas toutes écrites ;

16 ans. Un pistolet et quelques économies en poche… Que faire, que faire ? Je n’avais même pas de quoi me payer une nuit à l’hôtel… J’étais désespéré. Et c’est par pur hasard, alors que je me baladais dans les rues noires de ma petite ville natale qu’un homme s’approcha de moi. Il m’offrit une grosse somme d’argent pour tuer un mec. Sur le moment, vous imaginez un peu la tête que j’ai faite ? Mais à bien y réfléchir, pour la somme qu’il m’offrait… J’ai accepté sans trop penser aux conséquences. De l’argent. Vite fait. Il me donna une adresse et une description. Je ne sais pas pourquoi il m’avait choisi moi, mais je devais bien avoir l’air d’un tueur à gage et pas qu’un peut pour qu’il me prenne comme ça !
L’homme que je devais tuer était blanc. Typique. Il vivait dans une petite maison modeste et possédait une voiture familiale. Des enfants ? Rien de tout ça ne me passa en tête. Non rien, jusqu’à ce que je me retrouve avec en face de moi le corps ensanglanté de cet homme duquel je ne connaissais rien…
Je ne ressentais rien. Ni remords ni regrets. C’était surement une erreur. L’autre attendait un tueur professionnel et je m’étais trouvé au lieu de rendez-vous au mauvais moment… Peu importe, j’avais maintenant de l’argent, et du sang sur les mains. Plein de sang.

Ensuite, voici la péripétie la plus étrange et la plus surprenante de mon histoire. Celle qui fit vraiment débuter ma vie, en tant que Narcisse ;

Dans mon nouvel appartement, je me cachais. Oui, car maintenant, on me recherchait. Depuis déjà 6 mois que je vivais de ce que j’apprenais mieux de jours en jours. Tuer. Ce jour là, j’attendais un nouveau client. Dans un parc, j’étais assit sur un banc. Comme prévu. La personne se pointa enfin. Quel étrange bruit l’accompagnait… Le son d’une clochette. Et c’est ce son qui m’enivra. Qui me fit suivre cette étrange personne.
Et c’est ainsi que je découvris que j’avais été choisis. Choisis pour servir un groupe. Celui que je voudrais. N’importe lequel, me suis-je dit, sur le coup. Le Maître du groupe des Narcisses, Raven… Il semblait être un fort. Un homme fort qui saurait me diriger. Qui saurait s’occuper de moi. Et c’est sans plus me poser de questions que je choisis mon camp.

C’est ainsi que mon histoire ici débuta.

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BEHIND THE MASK :

PRÉNOM // PSEUDO : Ruru xD
ÂGE : *Ramasse son crayon au sol* Hein ? Quoi ? Je n’ai pas entendu la question ?
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Maître Raven xD
CODE :

Citation :

Bien entendu, cher enfant ~

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